Aaliyah One in a Million on betQuand B.E.T avait annoncé une émission en hommage à Aaliyah, je m’attendais à une cérémonie avec des artistes interprétant les plus gros hits d’Aaliyah. Etait-ce vraiment trop demander? Surtout pour les 10 ans de sa disparition. Quoi qu’il en soit, cette émission était tout de même intéressante et un bon résumé de la vie artistique d’Aaaliyah. Elle m’a permis de réaliser à quel point elle me manque réellement, non seulement en tant qu’artiste mais aussi en tant que personne. Beaucoup de personnes ont du mal à comprendre l’intensité du lien affectif qu’un fan établit avec un artiste. Etre fan d’un artiste c’est un peu comme tomber amoureux de ce dernier, et l’on s’attache autant à son art qu’à sa personne (ou ce que l’on peut voir de sa personne). Et c’est cet aspect humain du manque vis-à-vis d’Aaliyah que j’ai ressenti en regardant ce reportage, notamment à la fin particulièrement poignante. I miss you, Baby Girl.
When BET announced a program in tribute to Aaliyah, I expected a ceremony with artists interpreting the biggest hits for Aaliyah. Was it really too much to ask? Especially for the 10 years of his disappearance. Anyway, the show was still interesting and a good summary of the artistic life of Aaaliyah. It made me realize how much I miss it really, not only as an artist but also as a person. Many people have difficulty understanding the intensity of the emotional bond that a fan has with an artist. Being a fan of an artist is like falling in love with it, and it is committed to his art as much as the person (or what can be seen in person). And it is this lack of human vis-à-vis Aaliyah I felt watching this report, including the poignant end. I miss you, Baby Girl.