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Une ballade dans l'histoire du cinéma à travers les fantômes comme forme de la conscience

L'imaginaire de la cité des Rosiers

Une spirale cabossée de cuivre pleut sur un plancher. La chambre de pluie est une surface polymorphe qui se prête aux métamorphoses – ici, installation, là studio de tournage ou encore plateau de performance. Un appel de la pluie, une résistance qui pleure.

Tectonic colors

le changement d'un pansement du sacrum

Prise de note pour un film à venir

À partir de photographie de ses proches et du bar où ses voisins vivent ensemble au quotidien, c'est le portrait complexe de Catherine qui se dessine.

An essay who try to find a form to the phenomena of Phantom sensation.

synopsis C’est par ma rencontre avec Yvonne que j’ai pu commencer cette recherche sur la sensation du membre fantôme. Trouver une forme à cette sensation présente mais invisible, comme impossible. Montrer l’impossible qui pourtant est la base de la constitution de notre mémoire, du fonctionnement de notre mémoire, l’illusion. Ce film est le premier volet de toute une recherche qui gravite autour de la forme adéquate de la sensation fantôme au cinéma. Faire de cette vidéo une image de ce qui ne se voit pas, comme un moule du membre fantôme. biographie Biographie Après un bac L audio-visuel, Aurélien Lemonnier entre aux beaux-arts de Marseille où il travaille dans l’atelier de Bouchra Khalili et d’Alain Rivière. Il sort de l’école avec un DNSEP félicitation du Jury puis entre dans plusieurs résidences où il travaille avec des personnes habitant les quartiers nord de Marseille ou encore réalise des « clips » pour des musiciens expérimentaux. Il continue de développer ses projets plus personnels comme projet fantôme ou les films de fiction, l’écriture de scénario et l’invention de dispositif lui permettant de montre le vide, le silence et l’erreur.

Ce film montre un jeune homme se faire lyncher dans un endroit en construction. Biographie Après un bac L audio-visuel, Aurélien Lemonnier entre aux beaux-arts de Marseille où il travaille dans l’atelier de Bouchra Khalili et d’Alain Rivière. Il sort de l’école avec un DNSEP félicitation du Jury puis entre dans plusieurs résidences où il travaille avec des personnes habitant les quartiers nord de Marseille ou encore réalise des « clips » pour des musiciens expérimentaux. Il continue de développer ses projets plus personnels comme projet fantôme ou les films de fiction, l’écriture de scénario et l’invention de dispositif lui permettant de montre le vide, le silence et l’erreur.