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Comme je le dis à même le vidéo, cette conclusion pourra-être une introduction à l'abstinence pour certains. C'est une conclusion bien humble ou je fait état de ce nouvel état d'être qu'est l'abstinence pour l'alcoolique non abstinent. J'y fait part de mon aujourd'hui, et des années qui ont passées. Je n'oublierai jamais par ou je suis passé. À vous tous je vous souhaite le meilleur.

Un certaine période d'euphorie se crée une fois l'abstinence bien acceptée. On appelle souvent cette période "Le petit nuage rose" mais on oublie souvent que la réalité quotidienne existe et qu'elle est toujours présente. La sérénité existe pour celui ou celle qui savent faire l'amalgame des deux facettes c'est à dire la beauté de vivre sans alcool tout en faisant face au quotidien.

Ma forte consommation d'alcool a amené un déséquilibre qui s'est avéré temporaire sur une période d'un an environ à l'effet de psychose nocturne. Je devais affronter cet état d'être mental que je n'avais jamais connu et qui me faisait peur au début. Je rêvais éveillé par moment , et je n'avais aucun contrôle sur mes mouvements. Ce fut une acceptation qui devait être fait afin de pouvoir vivre normalement mes nuit.

Vivre avec une personne alcoolique buveuse, en termes affectifs, peut amener le co-dépendant a développer des shèmes de pensées directement en lien avec l'alcoolisme buveur. En fait la co-dépendance alcoolique est une forme d'alcoolisme qui est vécue à travers l'autre. On ne boit pas mais l'autre adopte des attitudes normalement inacceptables avec lesquelles l'inacceptable devient acceptable. Ayant vécu également la co-dépendance alcoolique, et l'ayant partagé avec d'autre co-dépendants et co-dépendantes, je relate mon expérience à ce niveau en proposant des avenues possibles..

Tout au cours de la première année de mon abstinence, j'ai vécu un profonde période tourmentée par des déséquilibres mentaux qui, pour la plupart, ont été propulsés par un médecin manipulateur et malhonnête. J'ai été son cobaye et je vivais parallèlement dépression, anxiété et psychose nocturne. Cette partie de mon abstinence a été, en essence, un autre enfer à lequel j'ai été confronté. Je n'avais qu'une idée en tête, me battre et vaincre à nouveau.

Mes débuts dans les Alcooliques Anonymes. Ce que ce grand mouvement pouvait m'apporter en terme d'aides et d'encouragements. Le vécu de débuts difficiles au niveau de ma santé et le défi que cela apportait au niveau de mon abstinence. Mes premières épreuves. L'importance d'être en relation avec des gens.

Mes premiers jours face au monde que j'avais toujours connu mais cette fois ci de façon abstinente. Mes appréhensions, mes doutes, ma fragilité. Voilà, j'avais terminé ma thérapie de 2 mois, et j'étais maintenant en pleine civilisation. Un faire face qui a été fort en toutes sortes d'émotions

Mon alcoolisme avait atteint un paroxysme, il ne me restait qu'une solution : Me prendre en main et me diriger vers une maison de thérapie fermée pour une période de deux mois. Dans ce vidéo, je relate les peurs, la crainte de l'inconnu, et mon désarroi qui m'a permis d'en venir à un changement par la thérapie. Voici donc mes derniers jours d'une beuverie afin de toucher mon bas-fond pour en arriver à la thérapie. Ce vidéo est la 8 ième partie.

Au plus fort de mon alcoolisme, j'en était rendu à avoir peur de l'alcool, de moi, de ma situation. J'étais perdu, découragé, j'avais atteint la limite de ce que je pouvais accepter. C'était alors le début de la fin et une direction qui tendait vers la thérapie en maison fermée pour alcooliques

Dans mon parcours alcoolique, j'étais devenu un être qui vivait de noirceur et de jours de pluie. Je coulais tranquillement vers mon bas-fond. Ma vie n'avait plus de sens. J'étais profondément et définitivement possédé par l'alcool si je peux m'exprimer ainsi - Ceci est le sixième vidéo d'une série sur mon alcoolique

J'ai vécu une période de luxure lorsque je me suis séparer momentanément de ma conjointe. Sexe, drug and rock n roll, je ne pourrais exprimer mieux. Plus le temps avançait plus mon corps me redonnait des signes alarmant de grandes blessures internes. C'est là ou j'ai défini que j'étais peut être alcoolique sans trop y donner de l'importance. Ce fut le début de la fin.

Mon alcoolisme était devenu non pas un plaisir, mais un besoin, et une obsession indéfinissable. Ma seule volonté ne pouvait arrêter mon obsession et j'ai vécu un véritable enfer tout autours de moi mais surtout en moi. Voilà les débuts de cet enfer relaté avec le plus de simplicité possible

J'ai vécu une période de luxure lorsque je me suis séparé momentanément de ma conjointe. Sexe, drug and rock n roll, je ne pourrais exprimer mieux. Plus le temps avançait plus mon corps me redonnait des signes alarmants de grandes blessures internes. C'est là ou j'ai défini que j'étais peut être alcoolique sans trop y donner de l'importance. Ce fut le début de la fin.

Mon alcoolisme était devenu tel que j'en avait tout les caractéristique : Manipulation, mensonge, déni, projection, fautes des autres jamais de la mienne, toujours avoir raison, me déresponsabilisé, adopter le terme alcoolique pour défendre mon droit à boire comme un ivrogne, et j'en passe.

Dans mon alcoolisme, le mot en lui même n'existait pas. Je me donnais le droit de boire à outrance en me disant que ça me faisait du bien et qu'il n'y avait pas de mal à ça. La maladie prenait place peu à peu en moi aussi sournoisement qu'un serpent sur mon âme et conscience. J'étais profondément atteint par les fondements même de l'alcoolique qui se ment à lui même.

Mon alcoolisme relaté et raconté depuis ses début avec la plus grande pudeur, la plus grande sincérité et humilité qu'll m'est donné de partager. Mon histoire d'alcool, du paradis à l'enfer. D'un bout à l'autre d'un parcours parfois loufoque, parfois dramatique, parfois drôle, parfois infernale et toujours profondément trouble et ancré d'une vie à travers laquelle je suis passé pour en sortir vivant et abstinent.